Le 11 mars au matin nous avons passé la frontière entre le
Costa Rica et le Panama aux douanes terrestres de Paso Canoas. Une expérience
un peu spéciale. Pas de questions du genre : combien de temps allez-vous
passer au Panama? Où allez-vous habiter? Ou autre. Le douanier a étampé nos
passeports et a pris nos empreintes digitales. Ils le font pour tout le monde.
Et du monde il y en avait ce matin-là. C’est par là que passent les autobus de
touristes.
La route Panaméricaine change d’aspect au Panama. Au Costa
Rica on a eu une route à 2 voies (une dans chaque sens) avec ou sans accotement
selon la région. Ici la route est à 2 voies dans chaque sens et un accotement
pavé presque tout le long. Ça roule bien! De plus on nous avait dit que les
routes étaient sales et pleines de détritus. Bien non, pas plus que chez nous
et nous venons de faire plus de 360km sur les routes de ce pays
Ici beaucoup de cyclistes sur la route. Nous avons croisé un
club de cyclistes sur vélos de route, et plusieurs autre cyclistes sportifs.
La première constatation : beaucoup moins
de végétation et de lieux sauvages. De grands espaces pour la culture de cane à
sucre et ils semblent que nous sommes dans la saison de la coupe car les champs
sont clairs à perte de vue.
Un fermier un peu créatif ! |
La coupe de la cane à sucre |
Ce soir
arrêt à Anton dans un petit hôtel attaché à l’église de la ville près de la
place centrale. Et oui, comme tout pays vous avez la mairie, l’église et le
parc central dans le même carré. Demain destination bord de l’océan pacifique
où nous allons avoir la chance de nous baigner et se laisser bercer par les
vagues. Ici, essentiel de pédaler tôt le matin car à partir de 10 heures la
chaleur frappe très fort.
Notre hôtel, mignon n'est-ce pas? |
Images du centre du village |
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