Après plus de 2000 km sur les routes autours de Laval, cette
fin de semaine Louise et moi avons décidé de profiter de ces 3 jours pour
visiter notre fille à Trois-Rivières, donc vendredi sur la route pour se rendre
à Trois-Rivières, samedi journée de repos avec la famille car notre garçon est
venu d’Ottawa. Une première rencontre depuis janvier nous avions très hâte de
les voir physiquement.
Quel plaisir que de sillonner la route du Chemin du Roy (la
138) sachant que nous n’aurons pas à revenir la même journée, même si cela n’est
que pour 3 jours. Nous avons eu deux belles journées de vélo, la température
fut plaisante et le vent pas violent.
Le Chemin du Roy, sur la plus grande partie du trajet on a profité d'un accotement pavé ou de routes de campagnes calmes. Photo prise dimanche tôt le matin sous les nuages. |
Bien sûr, quel bonheur de retrouver nos enfants et passer
une journée à discuter ensemble sur une multitude de sujets. La pandémie
évidemment, mais ce ne fut pas le sujet principal et c’est tant mieux car nous
n’entendons que cela dans les médias.
Dimanche sur le retour les souvenirs ont afflués de notre
voyage fait en 2017 et 2018. Le goût de repartir à la découverte de nouveaux
endroits, de rencontres impromptues sans penser au métro, boulot, dodo est
encore très présent pour notre futur projet qui sera différent mais dans lequel
le vélo aura une grande place.
Le long de notre parcours on a profité de plusieurs beaux endroits pour prendre des pauses Celui-ci dans le vieux Terrebonne, par où on est passé pour rejoindre le Chemin du Roy. |
Une petite pause près de Saint-Sulpice |
Le fleuve Saint-Laurent, que nous avons suivi sur des dizaines de kilomètre, nous apportait un peu de fraîche dans ces belles journées chaudes. |
S’il y a une certitude c’est qu’un nouveau grand départ aura
lieu au cours des prochaines années pour découvrir et vous faire découvrir de
nouveaux endroits et possibilité de voyage à vélo hors des routes les plus
utilisées. Ce que nous tentons de voir c’est la durée de ce voyage car nous
pensons 3 ou 4 ans. Nous voulons continuer à rencontrer des écoliers, leur donner
le goût de croire en leurs rêves, parler environnement, apprendre l’histoire
des gens, de leurs coutumes et vies journalières, aider ou nous le pourrons,
travailler dans des centres de réinsertions des animaux sauvages.
Bref les idées ne manquent pas, il nous faut les mettre en
ordre et par la suite nous serons prêts pour dire nous repartons vers de
nouvelles aventures sans savoir ce que demain sera. Le cœur léger, tous les
sens ouverts et prêts pour l’imprévu.
Louise et Gilles
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